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On y court ! Présentant une soixantaine de photos, l’exposition In/Out, située au deuxième étage de l’hôtel particulier, écrin de 1000m2 du Studio Harcourt depuis 2016, s’articule autour de trois thématiques : In situ – Au théâtre – Studio Harcourt un art de rue. Fondé en 1934 par la photographe et épouse de patron de presse, Germaine Hirscheld dite Cosette Harcourt, le studio éponyme est synonyme de photos en noir & blanc, glamour et intemporelles de stars de cinéma et icônes de la scène. La lumière su(û)r(e) L’accrochage propose ainsi d’incontournables portraits à l’esthétique léchée de personnalités, réalisés in situ. Pourtant, le Studio Harcourt, classé « Entreprise du patrimoine vivant », n’hésite pas à sortir des sentiers battus. Pour preuve des photos shootées sur scène ou en coulisses, les photographes déplaçant régulièrement   leur matériel dans les salles de spectacle pour capturer des images live d’artistes. Autre surprise : des vues du (P)Harcourt artist

Les 24 œuvres démentes 24, c’est le nombre de créations/installations qui composent la troisième édition des Extatiques, exposition d’art contemporain en plein air, intitulée cette année « Rien à voir ».   Une déambulation artistique qui se déploie à la fois sur l’esplanade de La Défense et dans le jardin de la Seine musicale. Dix-neuf artistes ont investi la cité des affaires et l’île Seguin. Au programme : des œuvres, pour beaucoup spécialement créées pour l’occasion, faisant appel aux sens -ouïe, vue, odorat- ainsi qu’aux manifestations atmosphériques -soleil, vent, eau. Question de perception Sol e sombre, c’est l’expérience à laquelle est convié le visiteur se faufilant dans un labyrinthe de murs de briques ajourées, avant d’être confronté à la démesure d’un baobab en métal et pneu, d’un banc public digne de Gargantua et d’une fleur de lotus géante à faire rougir une célèbre marque de baskets. Dans le bassin de Takis ont débarqué d’étranges hommes verts (déguisés en

À nos amours Impossible de manquer cette affiche présentant un cœur en spaghetti, probable hommage au plat de pâtes que partagent la Belle & le Clochard dans le dessin animé éponyme de Disney, présentant l’expo De l’amour, en cours au Palais de la Découverte. Empathie, amitié, attachement filial, désir charnel… Scientifiques, philosophes, sociologues, médecins, artistes… se penchent tour à tour sur ce sentiment multiple et ambivalent et offrent aux visiteurs une exploration pluridisciplinaire à la fois ludique et didactique. Artylove L’exposition s’ouvre sur un cœur hollogramme géant, se poursuit par la galerie des attachements où l’on découvre un totem de doudous, premiers symboles d’attachement, un mur tagué de déclarations, des témoignages audio d’enfants nous livrant leur définition de l’Amour, des célèbres écrits poétiques, des citations de personnalités, une bibliothèque proposant un large panel des plus grands romans d’amour… Phénoménal Place ensuite à la