Expo photos
Marilyn à nue
La galerie Joseph, ancien atelier industriel de 850m2 sur deux étages dominés par une verrière culminant à 12 mètres de haut, réunit pour la première fois 200 photos et documents retraçant le destin de la star depuis son enfance jusqu’en juin 1962, « veille » de sa mort à 36 ans par absorption de somnifères.
L’exposition, chronologique, s’ouvre avec l’acte de naissance de Norma
Jean Mortenson. Suivent quelques clichés de l’enfant avec sa mère
biologique, sa famille d’accueil, photos de groupes et ce portrait, à 16
ans, lors de ce mariage arrangé pour lui éviter de retourner à
l’orphelinat.
Marilyn fait ses armes comme mannequin pour l’armée américaine, suit des cours de comédie et prend le pseudonyme de Marilyn Monroe, du nom de jeune fille de sa mère. Dès lors, on découvre le parcours et la métamorphose de la future sex symbol via les clichés de Sam Shaw (auteur de la célèbre photo de Marilyn en robe blanche sur la bouche de métro lors du tournage du film 7 ans de réflexion), de Milton Greene (auteur notamment de la série Ballerina), André de Dienes et Bert Stern qui shoota, pour Vogue, la fameuse Dernière séance six semaines avant la disparition de la star. Un shooting qui dura deux jours et une nuit réalisé en couleurs et en noir & blanc qui donna lieu à plus de 2500 clichés majoritairement nus sur lesquels Marilyn affiche une cicatrice à l’abdomen suite à une récente ablation de la vésicule biliaire.
L’exposition, qui s’achève avec le portrait warholisé de l’actrice, invite le public dans l’intimité de la star, présentant à la fois des photos incontournables ayant contribué à forger la légende et d’autres prises sur le vif, dans la sphère privée, où rayonnent la spontanéité, la candeur, l’envie de vivre de celle qui s’habillait en taille 40 mais eut, néanmoins, au nombre de ses conquêtes Joe diMaggio, Arthur Miller, JFK, Clarck Gable, Yves Montant, Tony Curtis, Marlon Brando…
Un portrait troublant et nuancé de la blonde la plus convoitée de Hollywood qui, à défaut de s’être vue attribuer un Oscar, remporta le Golden Globe de la Meilleure actrice pour Certains l’aiment chaud.
Divine Marilyn, Galerie Joseph, 116 rue de Turenne, jusqu’au 22 septembre 2019. 12€/8€/gratuit-12 ans.
Marilyn à nue
La galerie Joseph, ancien atelier industriel de 850m2 sur deux étages dominés par une verrière culminant à 12 mètres de haut, réunit pour la première fois 200 photos et documents retraçant le destin de la star depuis son enfance jusqu’en juin 1962, « veille » de sa mort à 36 ans par absorption de somnifères.
L’exposition, chronologique, s’ouvre avec l’acte de naissance de Norma
Jean Mortenson. Suivent quelques clichés de l’enfant avec sa mère
biologique, sa famille d’accueil, photos de groupes et ce portrait, à 16
ans, lors de ce mariage arrangé pour lui éviter de retourner à
l’orphelinat. Marilyn fait ses armes comme mannequin pour l’armée américaine, suit des cours de comédie et prend le pseudonyme de Marilyn Monroe, du nom de jeune fille de sa mère. Dès lors, on découvre le parcours et la métamorphose de la future sex symbol via les clichés de Sam Shaw (auteur de la célèbre photo de Marilyn en robe blanche sur la bouche de métro lors du tournage du film 7 ans de réflexion), de Milton Greene (auteur notamment de la série Ballerina), André de Dienes et Bert Stern qui shoota, pour Vogue, la fameuse Dernière séance six semaines avant la disparition de la star. Un shooting qui dura deux jours et une nuit réalisé en couleurs et en noir & blanc qui donna lieu à plus de 2500 clichés majoritairement nus sur lesquels Marilyn affiche une cicatrice à l’abdomen suite à une récente ablation de la vésicule biliaire.
L’exposition, qui s’achève avec le portrait warholisé de l’actrice, invite le public dans l’intimité de la star, présentant à la fois des photos incontournables ayant contribué à forger la légende et d’autres prises sur le vif, dans la sphère privée, où rayonnent la spontanéité, la candeur, l’envie de vivre de celle qui s’habillait en taille 40 mais eut, néanmoins, au nombre de ses conquêtes Joe diMaggio, Arthur Miller, JFK, Clarck Gable, Yves Montant, Tony Curtis, Marlon Brando…
Un portrait troublant et nuancé de la blonde la plus convoitée de Hollywood qui, à défaut de s’être vue attribuer un Oscar, remporta le Golden Globe de la Meilleure actrice pour Certains l’aiment chaud.
Divine Marilyn, Galerie Joseph, 116 rue de Turenne, jusqu’au 22 septembre 2019. 12€/8€/gratuit-12 ans.
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